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L'évolution démographique détermine les préférences en matière de technologie et de développement durable

La gérante Alison Porter partage les résultats d'une étude sur les préférences et les attitudes des différentes générations à l'égard de la technologie et du développement durable. Plutôt que d'accepter des hypothèses, il est essentiel pour les investisseurs à long terme dans le secteur technologique de bien comprendre et de prendre en compte les préférences générationnelles.

Alison Porter

Alison Porter

Gestionnaire de portefeuille


13 janvier 2025
8 minutes de lecture

Principaux points à retenir :​

  • Alors que le monde est confronté au défi du vieillissement de la population, la technologie et l'innovation peuvent offrir des solutions grâce à des gains de productivité et d'efficacité.
  • Notre enquête sur l'appétit des générations en matière de technologie et de développement durable a montré que les générations Y et Z étaient plus enclines à adopter l'IA et les nouvelles technologies, et s'inquiétaient moins des risques. Toutefois, des facteurs tels que le genre, le niveau d'éducation et le niveau de revenu influencent également les attitudes, les préférences et la prise de décision.
  • En tant qu'investisseurs à long terme dans le secteur technologique, il est important de tester et de comprendre ces préférences générationnelles et d'en saisir les nuances, car elles peuvent avoir des implications sur les décisions et les résultats des portefeuilles.

La situation démographique est depuis longtemps l'un des moteurs de l'investissement et des tendances de consommation, en particulier dans le domaine des technologies. On part généralement du principe que les jeunes générations adoptent plus facilement les technologies car elles les connaissent mieux. On considère aussi souvent qu'elles sont plus soucieuses du développement durable. Mais est-ce vraiment le cas et quelles sont les nuances parmi les préférences de chaque génération ?

Cette question est essentielle car le monde est confronté à un défi majeur : le vieillissement rapide de la population (voir graphique 1). Selon les Nations unies, les personnes âgées de 65 ans et plus devraient représenter 16 % de la population mondiale en 20501 contre 10 % en 2022. Alors qu'il a fallu plus de 100 ans à la population française âgée de plus de 60 ans de passer de 10 à 20 %, les marchés émergents comme la Chine et le Brésil devraient mettre moins de deux décennies à le faire. Les conséquences sont considérables et le taux de dépendance (ratio entre le nombre de travailleurs et le nombre de retraités) devrait chuter encore plus radicalement d'ici 2050.

Il en résulte que des gains de productivité et d'efficacité sont plus que jamais nécessaires, et qu'il devient essentiel de favoriser une vie et un travail sains à un âge avancé.

Graphique 1 : l'importance de l'intelligence artificielle (IA) – la bombe à retardement démographique

La nécessité de réaliser des gains de productivité

Source : (à gauche) Nations Unies, (à droite) Données de l'OCDE, 2023 (arrondi à la personne la plus proche). *Projection. Rien ne garantit que les tendances passées se poursuivront ni que les prévisions se révéleront exactes.

En tant qu'investisseurs à long terme dans le secteur technologique, nous pensons qu'il est impératif de bien comprendre les tendances à long terme et les préférences des consommateurs, ainsi que les attitudes à l'égard du développement durable, de l'adoption des technologies et de leur évolution. Ce constat nous a incités à conduire une enquête en partenariat avec le Dr Paul Redmond de l'Université de Liverpool, l'un des principaux experts britanniques en matière de changement générationnel et d'avenir du travail. L'enquête s'est focalisée sur l'aspect technologique des vastes recherches menées par le Dr Redmond, décrites dans Évolution démographique : tendances et implications pour les entreprises et les investisseurs.

À propos de l'enquête

Cette enquête inédite et originale a permis de comprendre les attitudes en matière de développement durable des quatre générations de travailleurs actuels :

  • La génération Z (14-25 ans) ;
  • La génération Y (26-41 ans) ;
  • La génération X (42-56 ans) ;
  • Les baby-boomers (57-79 ans)

L'enquête exhaustive menée auprès de 500 participants basés au Royaume-Uni a fourni une analyse détaillée des perspectives de chaque génération en matière de développement durable, de prise de décision financière, de comportement d'achat, de préférences d'investissement et d'interactions avec les technologies émergentes telles que l'intelligence artificielle.

Principaux enseignements de l'étude

1 Chaque génération possède ses spécificités et ses préférences propres.

Les attitudes et les points de vue diffèrent d'un groupe à l'autre. Les baby-boomers sont soucieux de l'environnement, tandis que la génération Y est très à l'aise avec la technologie et affiche un fort penchant pour le développement durable. En tant que « natifs du numérique », ils sont la première génération à grandir avec la technologie et à être sensibilisés au changement climatique.

Ces observations sont aussi très corrélées au niveau d'éducation et au niveau de revenu. Par exemple, les personnes qui possèdent les revenus les plus élevés et qui ont plus d'économies ont tendance à être plus soucieuses du climat. Les femmes sont également plus enclines à se laisser influencer par des décisions environnementales dans leur planification financière.

2 Développement durable et comportement d'achat

La génération Y est la plus concernée par le développement durable et l'environnement. Elle est donc plus encline à acheter des produits durables ou éthiques et est prête à payer plus cher pour des marques et des produits durables. Par exemple, elle est plus susceptible d'acheter un véhicule électrique ; la génération Z a des préférences similaires. Les quatre générations reconnaissent que le fait de payer plus cher pour des produits durables dépend du produit ou du service en question, bien que les baby-boomers et la génération X se déclarent peu disposés à payer davantage, quel que soit le produit.

Il convient de noter que si les baby-boomers (retraités) sont plus soucieux de l'environnement que la génération X, ils sont moins susceptibles d'acheter des produits durables (graphique 2). Nous sommes face à une situation complexe – il est trop simpliste de supposer que les préférences des groupes les plus jeunes sont similaires à celles des groupes plus âgés. Notre étude a fourni des preuves empiriques que le clivage entre jeunes et vieux n'est pas toujours vrai. Chaque génération possède ses propres caractéristiques et points de vue et ne peut pas être classée dans un seul groupe.

Graphique 2 : Développement durable – achats et investissements

Source : Rapport de synthèse de l'enquête sur les préférences démographiques, novembre 2023.

3 L'investissement durable

Les choix d'investissement respectueux de l'environnement sont présents dans tous les groupes, mais à des degrés divers. Les membres de la génération Y ont déclaré que leur situation financière serait « plus » ou « certainement » plus susceptible d'être affectée par des considérations environnementales. Une proportion presque identique (66,2 %) de membres de la génération Z a apporté les mêmes réponses.

De manière surprenante, l'enquête a également révélé que les performances financières pouvaient encore influencer toutes les catégories démographiques (c'est-à-dire que toutes envisageraient d'investir dans une entreprise qui ne mettrait pas l'accent sur le développement durable mais qui offrirait une meilleure performance financière (graphique 2). Cette réponse peut sembler en contradiction avec des données antérieures, qui ont révélé un engagement fort des générations Y et Z en faveur de l'environnement et des causes durables.

4 Attitudes à l'égard de l'IA

L'IA est à l'origine non seulement d'une fracture « numérique », mais aussi d'une fracture « générationnelle ». L'utilisation accrue de l'IA suscite des inquiétudes généralisées et multigénérationnelles, en particulier chez les générations plus âgées. (Graphique 3). Les jeunes générations font davantage confiance à la technologie de l'IA, la génération Z se montrant prête à adopter de nouvelles avancées telles que les robotaxis. Elles sont également plus optimistes, considérant l'IA comme une source potentielle d'emplois futurs.

Les réponses des participants à l'étude révèlent qu'un manque de compréhension de l'IA peut entraîner une incertitude chez les générations plus âgées quant à son influence sur les choix de consommation durables. Plus de la moitié des participants appartenant à la génération des baby-boomers et à la génération X ne savent pas si l'IA sera capable de mettre en avant les préoccupations environnementales. Cela va à l'encontre de la génération Y et de la génération Z, qui sont généralement plus positifs quant à sa capacité à promouvoir l'écologie.

Graphique 3 : IA – les jeunes générations en savent plus, mais s'inquiètent moins

Source : Rapport de synthèse de l'enquête sur les préférences démographiques, novembre 2023.

Les jeunes générations considèrent plus spontanément les transports (par ex. les robotaxis, l'électrification, la sécurité) et la santé (par ex. le processus de diagnostic, la découverte de médicaments, la chirurgie robotique) comme étant des domaines que l'IA va transformer ; ceci est de bon augure car les transports et la santé font l'objet d'une demande croissante, en particulier de la part des seniors. Les générations plus anciennes ont tendance à s'intéresser aux domaines qui ont déjà fait l'objet d'un bouleversement, comme le commerce en ligne et l'éducation, mais considèrent également le secteur manufacturier comme un secteur qui va être transformé (ce qui, compte tenu des chaînes d'approvisionnement longues et parfois complexes, pourrait prendre des décennies).

Graphique 4 : l'IA peut désamorcer la bombe à retardement démographique

Le perfectionnement et la requalification des compétences seront essentiels.

 5 Communication numérique

Contrairement aux idées reçues, notre étude a révélé que c'est l'e-mail, et non les réseaux sociaux ou le courrier, qui règne en maître parmi les générations. Nous sommes tous en train de devenir des natifs du numérique, et chaque groupe démographique est désormais marié à sa boîte mail, malgré des antécédents différents en matière d'exposition au numérique.

Qu’est-ce que cela implique pour les investisseurs ?

La transition vers les paradigmes numériques a un impact sur les attitudes à l'égard de l'IA et du développement durable, ainsi que sur l'investissement, avec un net penchant pour les produits éthiques et durables, en particulier au sein des générations Y et Z. Toutefois, les différences de genre, d'éducation et de revenus influencent également les préférences et les décisions.

Le tableau suivant résume les caractéristiques de chaque groupe générationnel telles qu'elles ressortent de l'enquête, et les catégorisations d'un point de vue technologique :

Graphique 5 : groupes générationnels et leurs caractéristiques en matière de technologie

Groupe Caractéristiques
Génération Z Les premiers véritables natifs du numérique, à l'aise avec la technologie dès leur plus jeune âge, valorisent l'expression individuelle et la diversité. Ils peuvent être considérés comme des « pionniers de la technologie », ce qui reflète leur rôle de précurseurs dans l'ère du numérique et leur penchant pour l'innovation technologique.
Les Millennials Adoptent la technologie durant son évolution rapide, ont grandi avec Internet et possèdent une conscience sociale. Reflète leur nature technophile et leur engagement en faveur de causes sociales et environnementales. Peuvent être considérées comme des « écologistes numériques ».
Génération X Ont vécu la transition de l'analogique vers le numérique, sont indépendants, autonomes, sceptiques à l'égard des institutions et pragmatiques. Le terme « nomades pragmatiques » reflète leur capacité d'adaptation, leur scepticisme et leur sens de l'indépendance, façonnés par l'évolution du monde qui les entoure.
Les baby-boomers Ils ont été témoins d'événements historiques importants, valorisent le travail et la loyauté, sont généralement plus traditionnels et ont souvent été les garants de systèmes établis.  Ces « gardiens de la tradition » défendent les valeurs et les institutions traditionnelles en période de changement social.

 

Source : Rapport de synthèse de l'enquête sur les préférences démographiques, novembre 2023.

Résumé

Il est beaucoup trop simpliste de supposer que les jeunes générations sont plus enclines à adopter les changements technologiques et le développement durable, tandis que les générations plus âgées sont plus hésitantes et réfractaires. Les membres de la génération Y sont en train de devenir des moteurs économiques essentiels, ce qui indique une évolution vers des investissements qui reflètent leur existence technologiquement intégrée et leur conscience accrue de l'impact du changement climatique. Les baby-boomers, la génération X et la génération Z ont tous des caractéristiques et des tendances qui leur sont propres.

En tant que partisans de l'investissement à long terme dans les actions du secteur technologique, nous pensons que, plutôt que de se baser sur des idées reçues, il est essentiel de bien comprendre et de prendre en compte les préférences générationnelles. Dans un article ultérieur, nous verrons comment cela guide notre réflexion et nos décisions d'investissement, dans un contexte où l'innovation technologique et les gains de productivité grâce à l'IA contribuent à relever les défis mondiaux que sont le vieillissement de la population et l'augmentation du taux de dépendance.

1Nations unies, Perspectives de la population mondiale 2022, juillet 2022.  https://www.un.org/development/desa/pd/sites/www.un.org.development.desa.pd/files/undesa_pd_2022_wpp_key-messages.pdf

Toutes les données proviennent de l'enquête Janus Henderson sur les préférences démographiques de novembre 2023.

Les opinions exprimées sont celles de l'auteur au moment de la publication et peuvent différer de celles d'autres personnes/équipes de Janus Henderson Investors. Les références faites à des titres individuels ne constituent pas une recommandation d'achat, de vente ou de détention d'un titre, d'une stratégie d'investissement ou d'un secteur de marché, et ne doivent pas être considérées comme rentables. Janus Henderson Investors, son conseiller affilié ou ses employés peuvent avoir une position dans les titres mentionnés.

 

Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Toutes les données de performance tiennent compte du revenu, des gains et des pertes en capital mais n'incluent pas les frais récurrents ou les autres dépenses du fonds.

 

Les informations contenues dans cet article ne constituent pas une recommandation d'investissement.

 

Il n'y a aucune garantie que les tendances passées se poursuivront ou que les prévisions se réaliseront.

 

Communication Publicitaire.

 

Glossaire

 

 

 

Informations importantes :

Veuillez consulter, ci-dessous, les informations importantes relatives aux fonds visés dans cet article.

Le Janus Henderson Horizon Fund (le « Fonds ») est une SICAV de droit luxembourgeois immatriculée le 30 mai 1985, gérée par Janus Henderson Investors Europe S.A. Janus Henderson Investors Europe S.A. peut décider de mettre fin aux modalités de commercialisation de cet Organisme de Placement Collectif conformément à la réglementation en vigueur. Ce document est une communication promotionnelle. Veuillez vous reporter au prospectus de l'OPCVM et au DICI avant de prendre toute décision finale d'investissement.
    Risques spécifiques
  • Les actions/parts peuvent perdre rapidement de la valeur et impliquent généralement des niveaux de risques plus élevés que les obligations ou les instruments du marché monétaire. La valeur de votre placement peut par conséquent chuter.
  • Les actions des sociétés petites et moyennes peuvent être plus volatiles que celles des grandes sociétés, et il peut parfois s’avérer difficile de valoriser ou de vendre des actions au prix ou dans le délai souhaités, ce qui augmente le risque de pertes.
  • Un Fonds fortement exposé à une région géographique ou à un pays donné implique des risques plus importants qu’un Fonds plus largement diversifié.
  • Le Fonds est axé sur des secteurs ou des thématiques d’investissement particuliers, et peut être fortement touché par des facteurs tels que les modifications des règlementations gouvernementales, la concurrence accrue sur les prix, les progrès technologiques et d’autres événements défavorables.
  • Le Fonds adopte une approche d’investissement durable, ce qui peut entraîner une surpondération et/ou une sous-pondération dans certains secteurs et donc une performance différente de celle des fonds qui ont un objectif similaire, mais qui n’intègrent pas de critères d’investissement durable dans la sélection des titres.
  • Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
  • Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est « couverte »), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
  • Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
  • Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
  • Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocié ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
Le Janus Henderson Horizon Fund (le « Fonds ») est une SICAV de droit luxembourgeois immatriculée le 30 mai 1985, gérée par Janus Henderson Investors Europe S.A. Janus Henderson Investors Europe S.A. peut décider de mettre fin aux modalités de commercialisation de cet Organisme de Placement Collectif conformément à la réglementation en vigueur. Ce document est une communication promotionnelle. Veuillez vous reporter au prospectus de l'OPCVM et au DICI avant de prendre toute décision finale d'investissement.
    Risques spécifiques
  • Les actions/parts peuvent perdre rapidement de la valeur et impliquent généralement des niveaux de risques plus élevés que les obligations ou les instruments du marché monétaire. La valeur de votre placement peut par conséquent chuter.
  • Un Fonds fortement exposé à une région géographique ou à un pays donné implique des risques plus importants qu’un Fonds plus largement diversifié.
  • Le Fonds est axé sur des secteurs ou des thématiques d’investissement particuliers, et peut être fortement touché par des facteurs tels que les modifications des règlementations gouvernementales, la concurrence accrue sur les prix, les progrès technologiques et d’autres événements défavorables.
  • Ce Fonds peut avoir un portefeuille particulièrement concentré par rapport à son univers d’investissement ou à d’autres fonds de son secteur. Un événement défavorable, même s’il n’affecte qu’un petit nombre de holdings, peut entraîner une volatilité ou des pertes importantes pour le Fonds.
  • Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
  • Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est « couverte »), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
  • Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
  • Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
  • Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocié ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.