Remède contre le mal de tête : exploiter la croissance mondiale grâce aux actions thématiques
Lors de son récent Global Investment Summit consacré aux moteurs de croissance des actions, Janus Henderson a mis en avant les niveaux record d’innovation dans les domaines de la santé et de la technologie, ainsi que les développements positifs en matière d'immobilier et de durabilité.
6 minutes de lecture
Principaux points à retenir :
- Des innovations sans précédent sont annoncées dans les secteurs clés des marchés actions, alors que le monde cherche à se défaire des conséquences néfastes de la pandémie de COVID-19.
- Nous anticipons des opportunités d’investissement prometteuses dans divers domaines comme le traitement contre l’obésité, la demande accrue de semi-conducteurs, les tendances favorables de l’immobilier et les investissements dans les systèmes d'électrification.
- Les portefeuilles d’actions thématiques axés sur la technologie, la santé, l’immobilier et la durabilité sont bien placés pour bénéficier de ces tendances.
Les marchés actions offrent d'excellentes opportunités pour exploiter les thématiques de l’innovation et de la démographie, qui façonnent l'évolution du monde. Le « Global Investment Summit » organisé récemment par Janus Henderson a permis de faire un bilan à mi-année des grands thèmes d’investissement susceptibles d'animer les marchés. Nous en résumons ici les principaux enseignements via une approche thématique.
Santé : un cycle d’innovation rapide
« Lorsqu'on évoque l’innovation dans le domaine de la santé, on pense toujours aux nouveaux médicaments, aux nouveaux traitements et aux nouvelles conditions de traitement des maladies humaines », a expliqué Andy Acker, gérant spécialiste du secteur de la santé.
Les entreprises innovantes créent leur propre croissance, et les acteurs du secteur de la santé ont commercialisé un nombre record de nouveaux médicaments en 2023 malgré les perturbations liées aux conséquences de la pandémie de COVID-19. La compréhension sociétale des maladies humaines, qui repose sur le code génétique, approche d’un point d’inflexion maintenant que nous sommes capables de séquencer le génome en quelques heures et non en plusieurs années, et pour un coût nettement plus faible. Cette nouvelle réalité entraîne une augmentation de la productivité de la science et le développement de nouvelles formes de traitement des maladies, notamment les thérapies géniques, les thérapies cellulaires et les conjugués anticorps-médicaments (ADC) ciblés qui permettant d'administrer la chimiothérapie directement aux cellules cancéreuses.
Le business gigantesque de l'obésité
Des progrès majeurs ont été réalisés dans le traitement contre l’obésité, comme en témoignent les nouvelles thérapies innovantes à base de polypeptides inhibiteurs gastriques (GIP) et d’incrétines à base de glucagon-like peptide-1 (GLP-1). Le chiffre d'affaires global de ces thérapies a atteint plus de 30 milliards de dollars en 2023, mais le potentiel de croissance de ce marché reste très important.
L’obésité et ses diverses complications sont considérées comme des problèmes de santé publique majeurs dans le monde entier. 42 % des adultes américains âgés de 20 ans et plus souffrent d’obésité, selon les données recueillies par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)1. La nouvelle cible des traitements contre l’obésité est le système des incrétines, qui se compose d’hormones qui semblent contribuer à la perte de poids2.
« Aux États-Unis, il y a plus de 100 millions de personnes obèses, et seule une infime partie de cette population bénéficie d'un traitement », a précisé Andy, notant qu’à l’échelle mondiale, environ 800 millions de personnes sont jugées cliniquement obèses3. « Les entreprises font également d’énormes progrès pour répondre à d’autres besoins médicaux non satisfaits, et c'est vraiment ce qui nous intéresse en tant qu’investisseurs dans le domaine de la santé. »
Immobilier : un tournant pour les REIT ?
« Nous atteignons un point d’inflexion sur le marché de l’immobilier commercial, auquel les investisseurs vont progressivement renforcer leurs allocations dès que les marchés sous-jacents auront atteint un point bas », a déclaré Guy Barnard, co-responsable de la gestion des foncières mondiales.
Le secteur de l’immobilier commercial a été confronté à un sentiment très négatif ces 24 derniers mois, en raison de la hausse des taux d’intérêt orchestrée par les banques centrales pour juguler l’inflation. Cependant, la stabilisation des taux d’intérêt, avec la possibilité de nouvelles baisses futures, devrait être une bonne nouvelle pour les sociétés foncières cotées (REIT), qui pourraient entamer un rebond potentiellement important. Le coût et l’accès au capital, en particulier le financement par la dette, devraient jouer un rôle de plus en plus important pour mieux différencier les entreprises et les investisseurs sur ce segment de marché.
Les moteurs de l’immobilier évoluent
Le marché immobilier continue à évoluer rapidement en raison de l'essor du commerce électronique, qui a pénalise le commerce de détail, alors que la montée en puissance du télétravail crée de véritables défis pour l'immobilier de bureaux.
« Nous essayons d’exploiter les secteurs bénéficiant d'une demande structurelle de la part des locataires, plutôt que d’essayer de surfer sur le cycle économique », a poursuivi Guy. « La croissance de la dématérialisation est une tendance propice pour les segments immobiliers à forte dominante technologique, comme les centres de données et les tours de téléphonie cellulaire. »
Les tendances démographiques, notamment le départ en retraite de nombreux baby-boomers va entraîner une demande importante, non seulement pour de nouveaux médicaments et thérapies sur le marché de la santé, mais aussi pour tout ce qui touche au logement des personnes âgées.
« L'idée c'est d'être très sélectif et d’essayer d'identifier les moteurs structurels de la demande des locataires. Sur ces marchés, les taux d’occupation sont très élevés et les loyers augmentent fortement », a-t-il conclu.
Technologie : une croissance fulgurante
L'action du fabricant américain de puces Nvidia a atteint de nouveaux records en 2024 et sa capitalisation boursière s'est rapprochée de celle d'Apple (3 000 milliards de dollars), soit la deuxième entreprise la plus valorisée aux États-Unis après Microsoft.
Bien que le potentiel de valorisation du fabricant de puces soit évident, selon Denny Fish, gérant de portefeuille au sein de l’équipe Global Technology and Innovation, il opère dans le secteur sans doute le plus sous-estimé de l'univers technologique.
« Nous avons observé une augmentation progressive d'année en année de l’intensité du capital par plaquette car il est de plus en plus difficile de faire progresser la loi de Moore », a expliqué Denny. « Cette tendance a créé un contexte naturellement propice aux fournisseurs sur la chaîne d’approvisionnement et l’essor de l’IA a permis de rendre les conditions de marché encore plus favorables. »
En outre, la demande sur ce petit réseau de fournisseurs devrait monter en flèche, avec une multiplication des entreprises cherchant à concevoir et à produire des puces pour semi-conducteurs pour leurs propres besoins dans différents secteurs, notamment les opérateurs de grands centres de données (hyperscalers), l’aéronautique, la défense et les constructeurs automobiles, notamment.
« Compte tenu de la dynamique de la chaîne d’approvisionnement des semi-conducteurs, ce marché est probablement le plus sous-estimé et le mieux structuré de la planète. Et Denny de conclure : « L’IA ne fait qu'alimenter la tendance et la dynamique à long terme qui soutiennent les prestataires sur la chaîne d’approvisionnement ».
Durabilité : bouleversement de l’équilibre des forces
La société de conseil McKinsey estime que l’IA pourrait contribuer à une production économique supplémentaire d’environ 13 000 milliards de dollars d’ici 2030 et augmenter le PIB mondial d’environ 1,2 % par an4. Les conséquences énergétiques de cette croissance sont toutefois gigantesques, alors que l’électrification (remplacement des technologies ou des processus utilisant des combustibles fossiles par des équivalents électriques) devient une tendance de fond majeure.
Pour donner un peu de contexte, malgré une multiplication par sept de la capacité mondiale des centres de données entre 2010 et 2019, cette expansion a été bien gérée d’un point de vue énergétique, mais cet équilibre est sur le point de disparaître.
« La croissance de la demande en énergie de l’IA est si importante que cet équilibre va se rompre dans les plus brefs délais », a fait remarquer Hamish Chamberlayne, responsable des actions durables mondiales, tout en ajoutant que la demande en énergie des centres de données aux États-Unis et en Europe devrait plus que doubler au cours des prochaines années.
Cette année, le total des dépenses d’investissement allouées aux centres de données par Amazon, Meta, Google et Microsoft va s’élever à près de 200 milliards de dollars, soit une augmentation de 34 % par rapport à 20235. En mars, Microsoft et OpenAI ont annoncé un projet de construction de centre de données qui pourrait coûter jusqu’à 100 milliards de dollars et inclure un supercalculateur d’IA appelé « Stargate » dont le lancement est prévu en 2028. Le relais de croissance sous-jacent à tout cela est l’électrification et les investissements nécessaires pour réduire les goulots d’étranglement du réseau électrique6.
La conclusion d'Hamish : « Nous observons une croissance soutenue de la demande en électricité de la part des acteurs des services aux collectivités, ainsi que de toutes les infrastructures qui y sont liées, qu’il s’agisse des câbles haute tension, des transformateurs, des systèmes de connexion des énergies renouvelables au réseau, etc...les investissements nécessaires dans le secteur de l’électrification sont considérables. »
1 Source : National Center for Health Statistics, données sur l’obésité et le surpoids
2 Source : National Library of Medicine
3 Source : The Harvard Gazette, « Are new weight-loss drugs the answer to America’s obesity problem ? »
4 Source : Document d’information du Parlement européen, « Economic impacts of artificial intelligence »
5 Source : The Economist, « Big tech’s capex splurge may be irrationally exuberant »
6 Source : The Information, « Microsoft and OpenAI plot $100 billion Stargate AI supercomputer »
Dépenses en capital ‑ capitaux investis pour acquérir ou moderniser des actifs fixes comme les bâtiments, les machines, les équipements ou les véhicules, afin de pérenniser ou d'améliorer les activités et de doper la croissance future.
Actions: Instrument financier représentatif de la propriété d'un actif, généralement coté en bourse. Les « actions » en tant que classe d’actifs désignent des investissements en actions, par opposition, par exemple, à des obligations. Être investi en fonds propres dans une société signifie détenir des actions et donc en être partiellement propriétaire.
Produit intérieur brut (PIB) : valeur de tous les produits et services finis produits par un pays, sur une période spécifique (généralement trimestrielle ou annuelle). Lorsque le PIB augmente, les consommateurs dépensent davantage et les entreprises connaissent une expansion, et vice versa. Le PIB est un indicateur général de la taille et de la santé de l’économie d’un pays et peut être utilisé pour comparer différentes économies.
Société d'investissement immobilier cotée (REIT) : Véhicule d’investissement investissant dans l’immobilier, en étant propriétaire direct de biens immobiliers, de parts ou d’hypothèques. Puisqu'ils sont cotés en bourse, les REIT sont généralement très liquides et se négocient comme des actions. Les titres immobiliers, y compris les REIT, peuvent être soumis à des risques supplémentaires, notamment les risques de taux d’intérêt, de gestion, fiscaux, économiques, environnementaux et de concentration.
Thèmes/tendances séculaires: Thèmes d’investissement à long terme à fort potentiel de croissance, comme le changement climatique, l’IA, les énergies propres ou l’évolution démographique.
Les opinions exprimées sont celles de l'auteur au moment de la publication et peuvent différer de celles d'autres personnes/équipes de Janus Henderson Investors. Les références faites à des titres individuels ne constituent pas une recommandation d'achat, de vente ou de détention d'un titre, d'une stratégie d'investissement ou d'un secteur de marché, et ne doivent pas être considérées comme rentables. Janus Henderson Investors, son conseiller affilié ou ses employés peuvent avoir une position dans les titres mentionnés.
Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Toutes les données de performance tiennent compte du revenu, des gains et des pertes en capital mais n'incluent pas les frais récurrents ou les autres dépenses du fonds.
Les informations contenues dans cet article ne constituent pas une recommandation d'investissement.
Il n'y a aucune garantie que les tendances passées se poursuivront ou que les prévisions se réaliseront.
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Informations importantes :
Veuillez consulter, ci-dessous, les informations importantes relatives aux fonds visés dans cet article.
- Les actions/parts peuvent perdre rapidement de la valeur et impliquent généralement des niveaux de risques plus élevés que les obligations ou les instruments du marché monétaire. La valeur de votre placement peut par conséquent chuter.
- Les actions des sociétés petites et moyennes peuvent être plus volatiles que celles des grandes sociétés, et il peut parfois s’avérer difficile de valoriser ou de vendre des actions au prix ou dans le délai souhaités, ce qui augmente le risque de pertes.
- Un Fonds fortement exposé à une région géographique ou à un pays donné implique des risques plus importants qu’un Fonds plus largement diversifié.
- Ce Fonds peut avoir un portefeuille particulièrement concentré par rapport à son univers d’investissement ou à d’autres fonds de son secteur. Un événement défavorable, même s’il n’affecte qu’un petit nombre de holdings, peut entraîner une volatilité ou des pertes importantes pour le Fonds.
- Le Fonds adopte une approche d’investissement durable, ce qui peut entraîner une surpondération et/ou une sous-pondération dans certains secteurs et donc une performance différente de celle des fonds qui ont un objectif similaire, mais qui n’intègrent pas de critères d’investissement durable dans la sélection des titres.
- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
- Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est « couverte »), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
- Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
- Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
- Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocié ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
Risques spécifiques
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- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
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- Le Fonds a adopté un style d'investissement centré sur la croissance, ce qui crée un biais en faveur de certains types de sociétés. De ce fait, il peut afficher des performances nettement inférieures ou supérieures à celles du marché en général.
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- Le Fonds est axé sur des secteurs ou des thématiques d’investissement particuliers, et peut être fortement touché par des facteurs tels que les modifications des règlementations gouvernementales, la concurrence accrue sur les prix, les progrès technologiques et d’autres événements défavorables.
- Ce Fonds peut avoir un portefeuille particulièrement concentré par rapport à son univers d’investissement ou à d’autres fonds de son secteur. Un événement défavorable, même s’il n’affecte qu’un petit nombre de holdings, peut entraîner une volatilité ou des pertes importantes pour le Fonds.
- Le Fonds investit dans des fonds de placement immobiliers (FPI) et d’autres sociétés impliquées dans le placement de biens immobiliers, qui impliquent les risques mentionnés ci-avant associés avec l’investissement direct dans les biens immobiliers. En particulier, les FPI peuvent être assujettis à une réglementation moins stricte que le Fonds lui-même et peuvent subir une volatilité plus importante que leurs actifs sous-jacents.
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- Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
- Tout ou partie des frais courants peuvent être prélevés sur le capital, ce qui peut éroder le capital ou réduire le potentiel de croissance du capital.
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- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
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- Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
- Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
- Tout ou partie des frais courants peuvent être prélevés sur le capital, ce qui peut éroder le capital ou réduire le potentiel de croissance du capital.
- Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocié ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
- Outre le revenu, cette catégorie d’actions peut distribuer des plus-values réalisées et non réalisées en plus du capital initialement investi. Les frais, charges et dépenses sont également déduits du capital. Les deux facteurs peuvent se traduire par une érosion du capital et un potentiel réduit de croissance du capital. Les investisseurs sont également informés que les distributions de cette nature peuvent être considérées (et imposables) en tant que revenu en fonction de la législation fiscale locale.