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Opinion sur les actions mondiales : Au-delà des Sept Magnifiques

Les opportunités de croissance ne se résument pas aux géants technologiques qui forment le groupe des « Sept Magnifiques ». Dans cet article, nous abordons le contexte favorable pour les grandes capitalisations, le « dividende de la paix » en Europe et les réformes économiques au Japon.

Tom O’Hara

Tom O’Hara

Gestionnaire de portefeuille


Rory Stokes, CFA

Rory Stokes, CFA

Portfolio Manager | Deputy Portfolio Manager (2014) - The European Smaller Companies Trust PLC


Julian McManus

Julian McManus

Gestionnaire de portefeuille


18 Jun 2024
8 minutes de lecture

Principaux points à retenir :​

  • Les facteurs qui dictent l'évolution des marchés sont en train de changer, ce qui ouvre de nouveaux horizons aux investisseurs en actions, tandis que d’autres pans du marché sont en difficulté.
  • Les grandes capitalisations en profitent en Europe, les tensions géopolitiques accentuent l’accent mis sur la défense et les réformes économiques s'accélèrent au Japon.
  • Les stratégies sur actions européennes et mondiales, basées sur une parfaite compréhension des facteurs qui dictent l'évolution des marchés, permettent d'accéder à de belles opportunités.

La progression des actions mondiales est tirée par une poignée d'entreprises de premier plan, notamment les géants technologiques qui forment le groupe des « Sept Magnifiques ». Néanmoins, l’éventail des opportunités est désormais en train de s’élargir. Nous explorons ici les principaux facteurs à l'œuvre en Europe et au Japon, dont les gérants de portefeuille Tom O’Hara, Rory Stokes et Julian McManus ont parlé lors du « Global Investment Summit » organisé récemment par Janus Henderson.

La beauté réside dans la grandeur

Les acteurs historiques grands et puissants, forts d'une part de marché significative, de confortables marges bénéficiaires et d'un bilan sain ont tiré parti de leur position privilégiée ces derniers temps. Cela leur a permis de profiter de conditions favorables caractérisées par une raréfaction de « l’argent facile » dans le domaine du capital-risque, selon Tom O’Hara, gérant de portefeuille d'actions européennes.

En 2023, les levées de fonds de capital-risque aux États-Unis ont diminué de 60 % pour atteindre leur plus bas niveau depuis six ans, selon une analyse de PitchBook (un fournisseur de données spécialiste du non coté) et de la National Venture Capital Association. Ce déclin, également observé en Europe, et a des répercussions importantes sur l’économie, notamment sur les jeunes entreprises dont la trésorerie diminue dans un contexte de hausse des taux d’intérêt et des coûts de production.

« Par exemple, sur le marché de la bière, les faillites de petits brasseurs artisanaux se multiplient, observe Tom. C’est une conséquence directe de la raréfaction des financements avec le retour de l'inflation. »

Les petits brasseurs ont été particulièrement touchés. Bon nombre d'entre eux ont dû s’endetter pour financer l’achat d'équipements, de matières premières et, dans certains cas, pour faire face aux charges d’exploitation. Du fait de cette pression grandissante, le nombre de faillites dans le secteur au Royaume-Uni est passé de 35 en 2022 à 52 en 2023, selon les données du cabinet d'experts-comptables Price Bailey.

« C’est le moment idéal pour être un grand brasseur avec une confortable marge bénéficiaire et un bilan sain », ajoute-t-il, soulignant au passage la tendance au retour à la consolidation de ce secteur.

Les grandes capitalisations ont le vent en poupe

Dans les autres pans du marché, ce déclin des levées de fonds en dehors de l'appel public à l'épargne a incité les grandes entreprises à réaliser des acquisitions complémentaires. Elles étaient auparavant dissuadées par la longue période de taux bas et par la concurrence des fonds de private equity, qui étaient prompts à surenchérir.

Ce changement de mentalité est illustré par des entreprises telles que le géant européen de la restauration collective Compass Group et le fabricant d’ascenseurs et d’escalators KONE, qui guettent les opportunités de croissance externe à la faveur de la baisse des multiples de valorisation des entreprises convoitées.

En mai, Compass Group a racheté le traiteur CH&CO pour 475 millions GBP (soit 561 millions EUR), tandis que KONE a finalisé l’acquisition d’Orbitz Elevators, un fournisseur australien de solutions pour ascenseurs et escalators conçues sur mesure pour les immeubles commerciaux et résidentiels. Comme Tom l’a expliqué, ce ne sont là que deux exemples de grandes capitalisations qui ont le vent en poupe.

Plus c’est gros, mieux c’est ?

Néanmoins, même si la beauté peut résider dans la grandeur, « tout ce qui est petit est mignon », a souligné Rory Stokes, gérant de portefeuille d'actions européennes, en faisant observer que 90 % des opérations de fusion-acquisition (F&A) réalisées dans le monde depuis 2008 portaient sur des sociétés avec une capitalisation boursière inférieure à 5 millions USD.

« Les primes de fusion-acquisition que l'on peut tirer, que ce soit de la part de grandes entreprises qui tentent de combler des trous dans leurs portefeuilles ou de fonds de private equity qui tentent de déployer des capitaux devraient se traduire par des primes de contrôle significatives pour les sociétés de petite capitalisation. C’est une période vraiment enthousiasmante. »

Rory Stokes admet qu’au cours des trois dernières années, les petites capitalisations ont sous-performé les grandes, l’une des explications étant l'anxiété générale qui a pesé sur les actifs risqués alors que les investisseurs attendaient une récession mondiale qui n’est jamais venue. Cependant, dans la mesure où les taux d’intérêt ont atteint leur point culminant et où l’optimisme revient dans les rangs des investisseurs, il pense que les sociétés de petite capitalisation offrent de belles opportunités de croissance.

Rory Stokes a également abordé la question de savoir s'il était opportun d'investir dans les petites capitalisations européennes sans passer par les marchés organisés, ainsi que les éléments à prendre en compte pour les investisseurs : « Cela me fait toujours sourire d'entendre les gérants de fonds de private equity dire que leurs actifs sont de meilleure qualité que les entreprises cotées en bourse. En fait, les fonds de private equity détiennent souvent des entreprises qui ne brillent pas par leur transparence, qui ont généralement de piètres bilans et dont les dirigeants ne voient pas plus loin que le bout de leur nez », ajoute-t-il .

« L’analogie que je ferais est que les gérants de private equity qui affirment avoir des actifs de meilleure qualité sont aussi crédibles que mes camarades de classe qui certifiaient avoir une petite amie mais qu'elle était inscrite dans l’école à l’autre bout de la ville : c’est possible, mais il est peu probable que ce soit vrai. »

Disparition du « dividende de la paix»

L'expression « dividende de la paix», qui fait référence aux avantages économiques d’une diminution des dépenses de défense, est attribuée au président américain George H. Bush et au Premier ministre britannique Margaret Thatcher en pleine déconfiture de l’Union soviétique entre 1988 et 1991.

« Lorsque le mur de Berlin est tombé, les dépenses de défense représentaient plus de 7 % du PIB des États-Unis et elles ont diminué d’environ 3 points de pourcentage dans les années qui ont suivi », souligne Tom O’Hara. Ce dernier observe un retour de balancier pour les États-Unis et l’Europe.

La guerre en Ukraine et la montée des tensions géopolitiques, comme nous l’avons expliqué dans un article publié en début de l’année, intitulé «Les investisseurs et la nouvelle ère de la géopolitique», ont servi de signal d’alarme aux États-nations, en particulier ceux de l’UE, qui ont réalisé que la paix et la stabilité de longue date ont conduit à un certain relâchement en matière de dépenses de défense. Par ricochet, cela a amené les investisseurs à reconnaître la nécessité de réfléchir à des méthodes éthiques pour le réarmement européen.

« Il y a indéniablement eu une réelle prise de conscience en ce qui concerne les dépenses militaires européennes », estime Rory Stokes, qui sonde le marché dernièrement pour trouver des entreprises de haute technologie dans ce thème. En outre, la guerre entre la Russie et l'Ukraine a également mis en évidence le rôle vital que joue l’infanterie dans la protection des frontières européennes.

D'après Rory Stokes, la société suédoise Invisio, un leader mondial des systèmes de communication tactiques et de protection auditive, et la société néerlandaise Theon, un développeur et fabricant de premier plan de systèmes de vision nocturne et de caméras thermiques, représentent des opportunités de marché intéressantes liées à ce thème.

Le retour de l'« Abenomics »

Au Japon, la dépréciation inexorable du yen, qui est tombé fin mai à son plus bas niveau depuis 34 ans par rapport au dollar américain, a amené les responsables politiques à agir. Confrontés à la faiblesse du yen, les parlementaires japonais ont mis en place un comité de 20 universitaires et économistes de premier plan chargé d'identifier les réformes économiques structurelles qui permettront de remédier à la perte de compétitivité du pays à l'international et de rapatrier les bénéfices réalisés à l’étranger pour stimuler la croissance intérieure.

Le comité doit présenter ses propositions ce mois-ci.

« En fait, les réformes dont on commence à entendre parler sont en gestation depuis une dizaine d’années », explique Julian McManus, gérant portefeuille au sein de l’équipe Global Alpha Equity. « Elles ont commencé lorsque le Premier ministre Shinzo Abe a introduit il y a dix ans le code de gouvernance des entreprises et de gérance actionnariale. »

Les réformes à venir ont incité les entreprises japonaises à prendre les devants. Le groupe Toyota a commencé à dénouer ses participations croisées et à racheter ses actions pour rendre ses structures de capital plus efficaces.

« Il y a un réel changement sur le terrain au Japon, ajoute Julian McManus. L’année dernière, la gestion quantitative et le pari sur le bêta avaient le vent en poupe. Les capitaux spéculatifs achetaient tout ce qui se négociait en dessous de la valeur comptable et les cours de bourse sont entrés en lévitation jusqu'à ce que la capitalisation boursière revienne à hauteur de la valeur comptable. Dorénavant, il y a plus d’opportunités pour les adeptes de la sélection de titres comme nous, qui comprenons les opportunités propres à chaque dossier. »

Le Japon est une région du monde parmi d'autres où Julian McManus décèle des opportunités intéressantes en dehors des valeurs technologiques américaines, comme nous l’avons expliqué dans un article précédent intitulé, «Pourquoi les investisseurs devraient regarder au-delà des 7 Magnifiques pour trouver des opportunités dans le domaine de l'IA».

Une entreprise risquée

Pour conclure la table ronde, ses participants ont souligné les principaux risques pour leurs stratégies respectives. Tom O’Hara a admis qu’il ne sait pas si les investisseurs européens continueront de chercher à se réfugier dans les grandes entreprises résilientes face aux difficultés macroéconomiques ou s’ils élargiront leurs horizons aux petites et moyennes capitalisations.

Tout dépendra, selon lui, de la confirmation de la baisse des taux directeurs. Cependant, les prochaines élections aux États-Unis et en Europe compliquent la tâche des banquiers centraux, qui hésitent à faire baisser les taux d’emprunt.

Rory Stokes a le sentiment que le risque d’erreur de politique monétaire dans l’année à venir reste considérable, ajoutant que les banquiers centraux ont tardé à relever les taux d’intérêt et que, par conséquent et qu'ils pourraient bien les baisser trop tardivement.

Enfin, Julian McManus a souligné la montée des risques géopolitiques, notamment avec l’élection présidentielle américaine de novembre, qui pourrait déboucher sur des droits de douane punitifs à l'encontre de la Chine, relançant ainsi la guerre commerciale entre les deux plus grandes puissances économiques du monde. Cependant, il a ajouté en conclusion que ces risques géopolitiques sont bien identifiés et peuvent être pris en compte dans le positionnement pour le second semestre.


 Bilan : état financier qui résume l’actif, le passif et les capitaux propres d’une entreprise à un moment donné. Chaque élément donne aux investisseurs une idée de ce que l'entreprise possède et doit, ainsi que du montant investi par les actionnaires. On parle de bilan en raison de l'équation comptable : actif = passif + capital des actionnaires.

Pari sur le bêta : Une stratégie de trading consistant à prendre des positions sur des titres en fonction de leur bêta, qui est une mesure de la volatilité ou du risque systématique d’un titre ou d’un portefeuille par rapport au marché dans son ensemble.

Valeur comptable: La valeur nette d'inventaire d’une entreprise, calculée en soustrayant le total des passifs du total des actifs.

Prime de contrôle : Montant qu’un acheteur est prêt à payer en sus de la juste valeur de marché des actions afin d’obtenir une participation majoritaire dans une société cotée en bourse.

Multiples de valorisation élevés: Ratios utilisés pour évaluer la valeur d’une entreprise en la comparant à ses concurrentes. Il s'agit généralement du ratio cours/bénéfice (PER), du ratio cours/chiffre d'affaires (C/CA), du ratio cours/valeur comptable (C/VC) ou du ratio valeur d’entreprise/EBITDA (VE/EBITDA). Lorsqu’une entreprise a des multiples de valorisation élevés, cela signifie que son prix, tel que mesuré par ces ratios, est élevé au regard de ses bénéfices, de son chiffre d'affaires, de sa valeur comptable ou de son EBITDA par rapport à d’autres entreprises du même secteur ou de la même industrie.

Grandes capitalisations: Entreprises bien établies dont la valorisation (capitalisation boursière) est supérieure à une certaine taille, par exemple 10 milliards de dollars aux États-Unis. Il peut également être utilisé comme terme relatif. Les indices représentatifs des grandes capitalisations, tels que le FTSE 100 au Royaume-Uni ou le S&P 500 aux États-Unis, suivent les performances des plus grandes entreprises cotées en bourse, plutôt que celles de toutes les actions dont la valorisation est supérieure à un certain seuil.

Magnificent Seven : Apple, Microsoft, Alphabet, Amazon, Nvidia, Meta et Tesla sont les titres qui composent le groupe des « Sept Magnifiques ». Leur capitalisation boursière colossale influence lourdement les indices Nasdaq et S&P 500, qui sont pondérés par la capitalisation boursière.

Private equity : Un investissement dans une entreprise qui n’est pas cotée en bourse. À l'instar de l’investissement dans les infrastructures, il implique souvent d'engager d'importantes sommes d’argent pendant de longues périodes.

Marge bénéficiaire: Écart entre le chiffre d'affaires tiré de la vente d’un produit ou d’un service et son prix de revient.

Gestion quantitative: Une stratégie de trading qui s'appuie sur l’analyse quantitative pour la prise de décisions. La gestion quantitative implique le recours à des modèles mathématiques, à l'analyse statistique et à des processus algorithmiques pour identifier les opportunités et exécuter les transactions.

Fonds de capital-risque : Il s’agit d’un type d’investissement en capital-investissement qui consiste généralement à investir dans des entreprises en phase de démarrage qui ont besoin de capitaux, souvent avant même d’avoir commencé la production ou à générer des revenus. Considéré comme un investissement à haut risque et à performance élevée, il comporte un risque plus élevé de perte en capital.

Les opinions exprimées sont celles de l'auteur au moment de la publication et peuvent différer de celles d'autres personnes/équipes de Janus Henderson Investors. Les références faites à des titres individuels ne constituent pas une recommandation d'achat, de vente ou de détention d'un titre, d'une stratégie d'investissement ou d'un secteur de marché, et ne doivent pas être considérées comme rentables. Janus Henderson Investors, son conseiller affilié ou ses employés peuvent avoir une position dans les titres mentionnés.

 

Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Toutes les données de performance tiennent compte du revenu, des gains et des pertes en capital mais n'incluent pas les frais récurrents ou les autres dépenses du fonds.

 

La valeur d’un investissement et ses rendements peuvent augmenter ou diminuer et vous pourriez ne pas récupérer l’intégralité du montant investi à l’origine.

 

Les informations contenues dans cet article ne constituent pas une recommandation d'investissement.

 

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Le Janus Henderson Fund (le « Fonds ») est une SICAV de droit luxembourgeois immatriculée le 26 septembre 2000, gérée par Janus Henderson Investors Europe S.A. Janus Henderson Investors Europe S.A. peut décider de mettre fin aux modalités de commercialisation de cet Organisme de Placement Collectif conformément à la réglementation en vigueur. Ce document est une communication promotionnelle. Veuillez vous reporter au prospectus de l'OPCVM et au DICI avant de prendre toute décision finale d'investissement.
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