Favoriser l’IA : ses implications géopolitiques dans une perspective d’investissement
Nos gérants Richard Clode et Guy Barnard abordent l’impact significatif des facteurs géopolitiques sur la technologie et l’immobilier, deux secteurs qui jouent un rôle majeur dans la mise en place de l’IA.
8 minutes de lecture
Principaux points à retenir :
- Les États souverains sont devenus une nouvelle clientèle à l’ère de l’IA et l’IA générative a augmenté de manière exponentielle le niveau de menace de cybersécurité.
- Les centres de données, épine dorsale de l’économie numérique, sont devenus des « usines à IA » avec des répercussions stratégiques sur les pays.
- Les investisseurs doivent être conscients de l’impact des facteurs géopolitiques sur les secteurs et les entreprises dans lesquels ils investissent, notamment sur les chaînes d’approvisionnement, les coûts, la concurrence et la durabilité.
Les facteurs géopolitiques sont autant un moteur qu'un risque de plus en plus important pour les marchés. Comme nous l’avons étudié précédemment, il est important pour les investisseurs de naviguer activement dans cette nouvelle ère de démondialisation, de conflits politiques et militaires, de changement climatique et de priorité à la sécurité nationale. Dans notre premier article sur le sujet, nous avons évoqué la manière dont les entreprises technologiques et immobilières s’associent pour faciliter l’intelligence artificielle (IA) et bénéficier de la demande en sa faveur. Dans le présent article, nous discutons de la façon dont la géopolitique, l’un de nos trois principaux moteurs macroéconomiques, a un impact sur les secteurs de la technologie et de l’immobilier et les entreprises qui facilitent l’IA.
Le point de vue technologique (Richard)
L’IA est une nouvelle course aux armements – la capacité de l’IA est désormais considérée comme une priorité pour les pays et les régions, car elle est stratégique pour la sécurité nationale, la cybersécurité et la productivité économique. Par voie de conséquence, contrairement à l’ère de l’Internet, nous voyons des pays devenir des clients importants de l’infrastructure d’IA dans le cadre de la construction de leurs propres centres de données, ce qui crée une nouvelle clientèle pour nVIDIA, dont la demande pour ses puces GPU de la part des États souverains devrait être aussi importante que celle des trois plus grands hyperscalers réunis. Parmi ces États figurent de nouveaux entrants dans le domaine technologique régional, notamment le Moyen-Orient où l’IA est une priorité stratégique en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis. Nous avons également vu que la nature souveraine de l’IA joue un rôle géopolitique, notamment les restrictions américaines sur l’exportation des derniers GPU de nVIDIA.
Le « soft power » de l’IA et son imbrication avec la géopolitique apparaissent de manière évidente dans le récent investissement de 1,5 milliard de dollars américains de Microsoft dans G42, la société spécialisée dans l’IA. Établie aux Émirats arabes unis, elle fonctionnera sur la plateforme cloud Azure de Microsoft et utilisera ses puces.1 Cet accord a comporté une discussion plus large avec le gouvernement américain sur l’accès continu aux GPU de nVIDIA en fonction de l'origine géographique de ses clients.
Un autre exemple est la tentative américaine de contrôler l’algorithme d’IA de TikTok, qui a le potentiel d’influencer l’électorat américain, ce qui a conduit à l’adoption d’une législation obligeant les investisseurs américains dans TikTok à désinvestir et suggérant la création d’une entité détenue par les États-Unis.
La guerre des puces : relocalisation et délocalisation à proximité
En 2024, plus de la moitié de la population mondiale se rendra aux urnes, y compris aux États-Unis. Mais nous ne nous attendons pas à ce que la relation entre l’IA et la géopolitique se dégrade, quel que soit le vainqueur de l’élection présidentielle américaine. L’accès aux dernières GPU de nVIDIA est essentiel dans la nouvelle course aux armements de l’IA, et il se traduit à la fois par des restrictions à l’exportation et par la création d’une résilience stratégique dans la chaîne d’approvisionnement de ces puces.
Dans le but de réduire les risques et d’inverser des décennies de concentration de la fabrication de semi-conducteurs à Taïwan et en Corée du Sud au détriment des États-Unis, de l’Europe et du Japon, les contribuables du monde entier financent indirectement des dizaines de milliards de dollars de subventions et permettent des allégements fiscaux et des conditions d'emprunt favorables qui encouragent les principaux fabricants de semi-conducteurs à construire des usines de fabrication localement. Les restrictions actuellement appliquées aux dernières GPU de nVIDIA et les outils EUV (lithographie extrême ultraviolet utilisée pour imprimer des modèles de puces) d'ASML exportés vers certains pays ont des implications importantes aujourd’hui, mais leur impact ne fera que croître dans la durée, car la loi de Moore créera un fossé plus large en termes de capacités d’IA. Reste à savoir si ces restrictions sont absolues ou s’avéreront relatives et évolueront au fil du temps. Par ailleurs, dans quelle mesure les pays sont-ils prêts à accepter ce statu quo et cette insuffisance croissante d’IA ?
Des cybermenaces croissantes
La géopolitique se joue non seulement dans le monde physique, mais également dans le monde numérique, avec des cybermenaces croissantes qui ne peuvent que gagner en puissance dans un monde fait d'IA. La capacité de l’IA générative à créer des deep fakes à grande échelle et à faible coût permet aux acteurs malveillants de se livrer à de la cybercriminalité en utilisant des attaques plus sophistiquées avec un plus grand arsenal de vecteurs de menace pour obtenir un accès aux systèmes et réseaux informatiques. L’assureur UnitedHealth a récemment signalé le premier piratage équivalent d'un montant d’un milliard de dollars via un énorme vol de données médicales confidentielles appartenant à des citoyens américains. Le rapport sur la cybercriminalité de Cybersecurity Ventures a noté que d’ici 2025, la cybercriminalité pourrait coûter 10 500 milliards de dollars américains, contre 3 000 milliards de dollars américains en 2014. Dans le même temps, selon le rapport 2023 Global Security Outlook du Forum économique mondial, 74 % des organisations interrogées estiment que l’instabilité géopolitique mondiale a influencé leur cyberstratégie. Le récent déclenchement de guerres terrestres s’est accompagné d’une intensification majeure de la cyberguerre. Pour lutter contre cette menace croissante due à l’instabilité géopolitique ainsi qu’à l’IA, les entreprises et les pays doivent renforcer leurs capacités de défense en adoptant justement les technologies de l’IA.
Le point de vue immobilier (Guy)
Les centres de données étaient autrefois de grandes pièces abritant des ordinateurs centraux. Aujourd’hui, ils sont devenus des installations sophistiquées, nécessitant des équipes de gestion spécialisées chargées de maintenir la sécurité des serveurs, des données et de l’alimentation électrique, tout en opérant dans des espaces dotés de températures et de niveaux d’humidité optimaux constants ainsi qu’offrant une disponibilité garantie à 100 %.
En tant qu’épine dorsale de l’économie numérique, les centres de données facilitent la transformation numérique, le cloud computing, le big data et les technologies d’IA telles que l’IA générative. La demande croissante de services numériques et de connectivité de la part des consommateurs, des entreprises et des gouvernements est un facteur de soutien important de ce type de biens immobiliers.
Relever les défis de la durabilité
Cependant, les centres de données sont gourmands en énergie ; ils consomment constamment une énorme quantité de ressources, de l’énergie pour les faire fonctionner, ainsi que de l’énergie ou de l’eau pour refroidir les équipements hautement sensibles à la température. L’Agence internationale de l’énergie affirme que d’ici 2026, les centres de données pourraient consommer plus de 1 000 térawattheures d’électricité dans le monde, soit plus du double des niveaux de 2022 et à peu près autant que la consommation totale d’électricité du Japon.2 En réponse à cette situation, les centres de données sont déjà contraints de se délocaliser ou de trouver d’autres emplacements. Singapour, Francfort et Amsterdam ont été témoins de pénuries d’électricité et de restrictions imposées aux nouveaux centres de données. En effet, près de 20 % de la consommation d’énergie de l’Irlande concerne aujourd’hui les centres de données. Ce chiffre devrait atteindre 32 % d’ici 2026.3
Cette situation créée toutefois des opportunités pour d’autres marchés. À titre d'exemple, en raison du moratoire actuel de Singapour sur les centres de données, certains pays voisins que sont la Malaisie et l’Indonésie en bénéficient à mesure que la construction de nouveaux centres de données se déplace vers ces sites alternatifs. Les risques géopolitiques potentiels de telles mesures sont clairs compte tenu de l’importance et de la nécessité d'électricité.
Une considération supplémentaire est la source d'électricité elle-même. Il existe actuellement de nombreuses sources, mais la plupart d’entre elles produisent de grandes quantités de CO2. Le manque d’énergie renouvelable et de capacité de réseau sont des défis pour les opérateurs de centres de données. À terme, ils seront contraints de se décarboner et de proposer des sources d’énergie alternatives. En fin de compte, pour devenir des « centres de données verts », les entreprises devront utiliser des sources d’énergie telles que l’hydrogène, le solaire, l’éolien et le nucléaire. Ce sont de bonnes nouvelles, car les coûts de production de l'énergie éolienne et solaire ont baissé de près de 70 % et 90 % respectivement depuis 2010 et ces énergies constituent désormais la forme de production d’électricité la moins chère pour plus de 80 % de la demande mondiale d’énergie.4
Cependant, outre l’immense quantité d'électricité nécessaire pour faire fonctionner les centres de données, le refroidissement est un aspect tout aussi important, en particulier avec l’IA qui nécessite plus d'électricité pour faire fonctionner des superpuces telles que celles de nVIDIA. Les centres de données ont besoin d’une capacité accrue de refroidissement, le refroidissement liquide étant susceptible de devenir la norme à l’avenir. L’accès à l’eau n’est pas non plus acquis. Environ un cinquième des centres de données sont situés dans des régions soumises à un stress hydrique qui ont tendance à offrir un meilleur accès à l’énergie éolienne et solaire.5 Le Moyen-Orient accuse les plus grandes pertes économiques prévisionnelles en raison de sa pénurie d’eau liée au climat, selon la Banque mondiale.6 La croissance prévisionnelle de l’IA exerce une pression supplémentaire sur des ressources déjà rares et crée des problèmes géopolitiques et influence la dynamique des pouvoirs régionaux.
Chaque nouveau changement sismique dans le secteur technologique crée des gagnants et des perdants, des opportunités et des menaces. En effet, alors que les performances actuellement élevées du développement des centres de données attireront plus de capitaux dans le secteur et se traduiront par une offre plus importante à l’avenir, les obstacles actuels au développement sont considérables. Citons notamment les goulots d’étranglement dans la transmission d’électricité, l’équipement des centres de données, la main-d’œuvre, ainsi que la prévalence croissante d'un périmètre anti-centres de données sur les marchés stratégiques. Tout cela signifie que l’activité des centres de données restera probablement favorable aux propriétaires pendant encore plusieurs années et ne s’ouvrira qu’à ceux qui ont accès au capital et à l’expérience nécessaire pour s'exécuter selon les normes rigoureuses requises.
Résumé
L’IA n’est pas seulement un thème. Cette dernière vague de technologie a un immense potentiel dans de multiples domaines, y compris des secteurs dynamiques tels que l’immobilier et la technologie. Du point de vue de l’investissement, la géopolitique a d’énormes implications pour les entreprises et les secteurs, y compris ceux qui facilitent et répondent à la forte demande d’IA. Ces impacts importants sur le plan financier peuvent affecter les valorisations des entreprises et leurs perspectives de croissance à long terme. Bien que les investisseurs doivent avoir conscience de ces considérations, le revers de la médaille est que lorsque les entreprises relèvent ces défis, elles peuvent exploiter les potentiels d’innovation, de collaboration et de partenariat. La gestion active et le dialogue actionnarial peuvent permettre d'identifier les entreprises qui saisissent ces opportunités et qui sont plus susceptibles d’être les leaders et les gagnants de leurs secteurs respectifs.
2,3 Agence internationale de l’énergie au 20 mai 2024. https://www.iea.org/reports/electricity-2024/executive-summary
4 IRENA, Macquarie Equities Research, Data Centre Power Crunch, avril 2024.
5 NBC News, 19 June 2021, « Drought-stricken communities push back against data centers ».
GPU : une unité de traitement graphique ou GPU effectue des calculs mathématiques et géométriques complexes qui sont nécessaires au rendu graphique et sont également utilisés dans les jeux, la création de contenu et l’apprentissage automatique.
Hyperscalers : entreprises qui fournissent des infrastructures pour les services de cloud, de réseau et d'internet à grande échelle. Citons par exemple Google Cloud, Microsoft Azure, Facebook Infrastructure, Alibaba Cloud et Amazon Web Services.
Loi de Moore : elle prévoit que le nombre de transistors pouvant être intégrés à une micropuce doublera environ tous les deux ans, ce qui diminuera le coût relatif et augmentera les performances.
Rien ne garantit que les tendances passées se poursuivront ni que les prévisions se réaliseront.
Les industries technologiques peuvent être affectées de manière significative par l'obsolescence des technologies existantes, les cycles courts des produits, la baisse des prix et des bénéfices, la concurrence des nouveaux entrants sur le marché et la conjoncture économique générale. Un investissement concentré dans un seul secteur peut être plus volatil que la performance d'investissements moins concentrés et du marché.
Les FPI ou Fonds de Placement Immobilier investissent dans l’immobilier au moyen de la détention directe d'actifs immobiliers, d’actions de sociétés immobilières ou de créances hypothécaires. Comme ils sont cotés en bourse, les FPI sont généralement très liquides et se négocient comme des actions.
Les titres immobiliers, y compris les sociétés d’investissement immobilier cotées (FPI), peuvent être soumis à des risques supplémentaires, notamment des risques de taux d’intérêt, de gestion, fiscaux, économiques, environnementaux et de concentration.
Les opinions exprimées sont celles de l'auteur au moment de la publication et peuvent différer de celles d'autres personnes/équipes de Janus Henderson Investors. Les références faites à des titres individuels ne constituent pas une recommandation d'achat, de vente ou de détention d'un titre, d'une stratégie d'investissement ou d'un secteur de marché, et ne doivent pas être considérées comme rentables. Janus Henderson Investors, son conseiller affilié ou ses employés peuvent avoir une position dans les titres mentionnés.
Les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs. Toutes les données de performance tiennent compte du revenu, des gains et des pertes en capital mais n'incluent pas les frais récurrents ou les autres dépenses du fonds.
Les informations contenues dans cet article ne constituent pas une recommandation d'investissement.
Il n'y a aucune garantie que les tendances passées se poursuivront ou que les prévisions se réaliseront.
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Informations importantes :
Veuillez consulter, ci-dessous, les informations importantes relatives aux fonds visés dans cet article.
- Les actions/parts peuvent perdre rapidement de la valeur et impliquent généralement des niveaux de risques plus élevés que les obligations ou les instruments du marché monétaire. La valeur de votre placement peut par conséquent chuter.
- Un Fonds fortement exposé à une région géographique ou à un pays donné implique des risques plus importants qu’un Fonds plus largement diversifié.
- Le Fonds est axé sur des secteurs ou des thématiques d’investissement particuliers, et peut être fortement touché par des facteurs tels que les modifications des règlementations gouvernementales, la concurrence accrue sur les prix, les progrès technologiques et d’autres événements défavorables.
- Le Fonds adopte une approche d’investissement durable, ce qui peut entraîner une surpondération et/ou une sous-pondération dans certains secteurs et donc une performance différente de celle des fonds qui ont un objectif similaire, mais qui n’intègrent pas de critères d’investissement durable dans la sélection des titres.
- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
- Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est « couverte »), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
- Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
- Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
- Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocié ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
Risques spécifiques
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- Ce Fonds peut avoir un portefeuille particulièrement concentré par rapport à son univers d’investissement ou à d’autres fonds de son secteur. Un événement défavorable, même s’il n’affecte qu’un petit nombre de holdings, peut entraîner une volatilité ou des pertes importantes pour le Fonds.
- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
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- Le Fonds investit dans des fonds de placement immobiliers (FPI) et d’autres sociétés impliquées dans le placement de biens immobiliers, qui impliquent les risques mentionnés ci-avant associés avec l’investissement direct dans les biens immobiliers. En particulier, les FPI peuvent être assujettis à une réglementation moins stricte que le Fonds lui-même et peuvent subir une volatilité plus importante que leurs actifs sous-jacents.
- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
- Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est « couverte »), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
- Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
- Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
- Tout ou partie des frais courants peuvent être prélevés sur le capital, ce qui peut éroder le capital ou réduire le potentiel de croissance du capital.
- Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocié ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
Risques spécifiques
- Les actions/parts peuvent perdre rapidement de la valeur et impliquent généralement des niveaux de risques plus élevés que les obligations ou les instruments du marché monétaire. La valeur de votre placement peut par conséquent chuter.
- Le Fonds est axé sur des secteurs ou des thématiques d’investissement particuliers, et peut être fortement touché par des facteurs tels que les modifications des règlementations gouvernementales, la concurrence accrue sur les prix, les progrès technologiques et d’autres événements défavorables.
- Ce Fonds peut avoir un portefeuille particulièrement concentré par rapport à son univers d’investissement ou à d’autres fonds de son secteur. Un événement défavorable, même s’il n’affecte qu’un petit nombre de holdings, peut entraîner une volatilité ou des pertes importantes pour le Fonds.
- Le Fonds investit dans des fonds de placement immobiliers (FPI) et d’autres sociétés impliquées dans le placement de biens immobiliers, qui impliquent les risques mentionnés ci-avant associés avec l’investissement direct dans les biens immobiliers. En particulier, les FPI peuvent être assujettis à une réglementation moins stricte que le Fonds lui-même et peuvent subir une volatilité plus importante que leurs actifs sous-jacents.
- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
- Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est « couverte »), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
- Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
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- Tout ou partie des frais courants peuvent être prélevés sur le capital, ce qui peut éroder le capital ou réduire le potentiel de croissance du capital.
- Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocié ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
- Outre le revenu, cette catégorie d’actions peut distribuer des plus-values réalisées et non réalisées en plus du capital initialement investi. Les frais, charges et dépenses sont également déduits du capital. Les deux facteurs peuvent se traduire par une érosion du capital et un potentiel réduit de croissance du capital. Les investisseurs sont également informés que les distributions de cette nature peuvent être considérées (et imposables) en tant que revenu en fonction de la législation fiscale locale.
Risques spécifiques
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- Un Fonds fortement exposé à une région géographique ou à un pays donné implique des risques plus importants qu’un Fonds plus largement diversifié.
- Le Fonds est axé sur des secteurs ou des thématiques d’investissement particuliers, et peut être fortement touché par des facteurs tels que les modifications des règlementations gouvernementales, la concurrence accrue sur les prix, les progrès technologiques et d’autres événements défavorables.
- Ce Fonds peut avoir un portefeuille particulièrement concentré par rapport à son univers d’investissement ou à d’autres fonds de son secteur. Un événement défavorable, même s’il n’affecte qu’un petit nombre de holdings, peut entraîner une volatilité ou des pertes importantes pour le Fonds.
- Le Fonds investit dans des fonds de placement immobiliers (FPI) et d’autres sociétés impliquées dans le placement de biens immobiliers, qui impliquent les risques mentionnés ci-avant associés avec l’investissement direct dans les biens immobiliers. En particulier, les FPI peuvent être assujettis à une réglementation moins stricte que le Fonds lui-même et peuvent subir une volatilité plus importante que leurs actifs sous-jacents.
- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réduire le risque ou de gérer le portefeuille plus efficacement. Toutefois, cela introduit d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
- Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est « couverte »), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
- Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
- Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
- Le Fonds peut encourager un niveau supérieur de coûts de transaction consécutivement à un investissement sur des marchés négociés moins activement ou moins développés par rapport à un fonds qui investit sur des marchés plus actifs / plus développés.
- Tout ou partie des frais courants peuvent être prélevés sur le capital, ce qui peut éroder le capital ou réduire le potentiel de croissance du capital.
- Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocié ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
- Outre le revenu, cette catégorie d’actions peut distribuer des plus-values réalisées et non réalisées en plus du capital initialement investi. Les frais, charges et dépenses sont également déduits du capital. Les deux facteurs peuvent se traduire par une érosion du capital et un potentiel réduit de croissance du capital. Les investisseurs sont également informés que les distributions de cette nature peuvent être considérées (et imposables) en tant que revenu en fonction de la législation fiscale locale.
Risques spécifiques
- Les actions/parts peuvent perdre rapidement de la valeur et impliquent généralement des niveaux de risques plus élevés que les obligations ou les instruments du marché monétaire. La valeur de votre placement peut par conséquent chuter.
- Le Fonds est axé sur des secteurs ou des thématiques d’investissement particuliers, et peut être fortement touché par des facteurs tels que les modifications des règlementations gouvernementales, la concurrence accrue sur les prix, les progrès technologiques et d’autres événements défavorables.
- Le Fonds investit dans des fonds de placement immobiliers (FPI) et d’autres sociétés impliquées dans le placement de biens immobiliers, qui impliquent les risques mentionnés ci-avant associés avec l’investissement direct dans les biens immobiliers. En particulier, les FPI peuvent être assujettis à une réglementation moins stricte que le Fonds lui-même et peuvent subir une volatilité plus importante que leurs actifs sous-jacents.
- Le Fonds peut avoir recours à des instruments dérivés dans le but de réaliser ses objectifs d’investissement. Cela peut générer un « effet de levier », qui peut amplifier les résultats d’un investissement, et les gains ou les pertes pour le Fonds peuvent être supérieurs au coût de l’instrument dérivé. Les instruments dérivés présentent également d’autres risques, et en particulier celui qu’une contrepartie à un instrument dérivé ne respecte pas ses obligations contractuelles.
- Si le Fonds détient des actifs dans des devises autres que la devise de référence du Fonds ou si vous investissez dans une catégorie d’actions/de parts d’une devise différente de celle du Fonds (sauf si elle est « couverte »), la valeur de votre investissement peut être soumise aux variations des taux de change.
- Lorsque le Fonds, ou une catégorie d’actions/de parts couverte, vise à atténuer les fluctuations de change d’une devise par rapport à la devise de référence, la stratégie elle-même peut créer un impact positif ou négatif relativement à la valeur du Fonds en raison des différences de taux d’intérêt à court terme entre les devises.
- Les titres du Fonds peuvent devenir difficiles à valoriser ou à céder au prix ou au moment désiré, surtout dans des conditions de marché extrêmes où les prix des actifs peuvent chuter, ce qui augmente le risque de pertes sur investissements.
- Tout ou partie des frais courants peuvent être prélevés sur le capital, ce qui peut éroder le capital ou réduire le potentiel de croissance du capital.
- Le Fonds peut perdre de l’argent si une contrepartie avec laquelle le Fonds négocié ne veut ou ne peut plus honorer ses obligations, ou en raison d’un échec ou d’un retard dans les processus opérationnels ou de la défaillance d’un fournisseur tiers.
- Outre le revenu, cette catégorie d’actions peut distribuer des plus-values réalisées et non réalisées en plus du capital initialement investi. Les frais, charges et dépenses sont également déduits du capital. Les deux facteurs peuvent se traduire par une érosion du capital et un potentiel réduit de croissance du capital. Les investisseurs sont également informés que les distributions de cette nature peuvent être considérées (et imposables) en tant que revenu en fonction de la législation fiscale locale.